Dans le paysage industriel et tertiaire contemporain, la gestion du chauffage s’avère cruciale pour garantir à la fois confort, productivité et maîtrise des coûts. Le tube radiant gaz s’impose comme une solution de pointe, en particulier dans les espaces non isolés soumis à de fortes variations de températures et à de grands volumes d’air. De l’atelier à la salle de sport, des entrepôts logistiques aux centres de production, cette technologie bouleverse les préjugés sur le chauffage traditionnel, apportant une réponse directe aux exigences de rendement, de flexibilité et d’éco-efficience. Aujourd’hui, les marques comme RadiantPro, Climazur, Gazoleo, ou Energia rivalisent d’ingéniosité pour fournir des équipements robustes, performants et adaptés à chaque configuration, même en l’absence d’isolation conventionnelle. De nouveaux enjeux sur la réduction de l’empreinte carbone aux impératifs d’ergonomie et de sécurité, le débat mérite d’être repositionné à la lumière de l’expérience terrain et des innovations de 2025.
Évolution du chauffage gaz radiant pour zones non isolées
L’approche du confort thermique a radicalement évolué avec la généralisation des tubes radiants gaz, particulièrement dans les zones non isolées. Pendant des décennies, les industriels se sont évertués à chauffer d’immenses volumes d’air, dilapidant l’énergie, sans obtenir le confort souhaité ni la réactivité escomptée. Pourquoi continuer à chauffer l’air lorsque l’objectif premier est d’apporter de la chaleur là où elle est réellement utile : sur les surfaces, sur les personnes et sur les postes de travail ? Le chauffage par rayonnement a changé la donne, car il agit de la même manière que le soleil : il irradie la chaleur directement vers les objets et les individus présents dans l’espace, négligeant l’air ambiant, évitant ainsi des pertes massives inhérentes à la convection classique.
Cette révolution s’est accélérée ces cinq dernières années. Les installateurs, sous la pression des réglementations d’efficacité énergétique et d’émissions, ont basculé de solutions type aérothermes vers des systèmes performants de tubes radiants gaz, à l’image de la vaste gamme Thermoflux ou Gazdirect. Autrefois confronté à l’immense défit du chauffage d’ateliers ou de docks frigorifiques, Patrick, responsable maintenance pour un entrepôt logistique en périphérie lyonnaise, avoue avoir multiplié les essais avant d’opter pour des modèles EcoChauffage, aptes à maintenir une chaleur homogène sur les lignes de préparation, sans gaspillage ni sensation d’inconfort. Le même constat se retrouve dans des gymnases municipaux, terrains de tennis couverts ou hangars agricoles des Bouches-du-Rhône, où la robustesse des tubes radiants, leur résistance à l’humidité et à la poussière, s’avèrent décisives.
Cette tendance de fond s’explique également par la modularité de l’offre actuelle : il existe désormais une large panoplie de puissances, de longueurs, de designs suspendus ou mobiles, d’options de contrôle intelligent, permettant de cibler le besoin sans jamais imposer la surconsommation électrique ou la complexité d’installation. Le dynamisme du secteur est illustré par le succès de marques comme Climazur, qui optimise la personnalisation à la demande pour chaque cas de figure, même dans des bâtiments au bâti vétuste, dotés d’aucune isolation thermique. C’est en cela que se cristallisent les grandes avancées du secteur.
L’impact du tube radiant gaz sur le secteur tertiaire
Dans l’univers des services, le tube radiant gaz gagne du terrain face à l’électricité et aux traditionnels générateurs mobiles à fioul. La rapidité de chauffe, la discrétion sonore, la facilité d’intégration en faux plafond, la capacité à limiter l’encrassement des installations sont des arguments qui séduisent architectes et exploitants. Il n’est plus rare de voir des halls d’expositions, des lieux de vente ou des ateliers d’artistes recourir à ce type de technologie pour préserver le patrimoine tout en répondant aux normes actuelles de sécurité et d’efficacité. Les retours d’expérience des exploitants mettent unanimement en avant l’absence de courants d’air, la limitation des écarts de température et la fiabilité sur plusieurs saisons d’utilisation intensive.
Oser chauffer une zone non isolée devient ainsi un choix stratégique, réaliste, pour toute entreprise soucieuse d’allier performance et responsabilité environnementale, promouvant aussi l’image d’un bâtiment vertueux sur le plan énergétique.
Principe de fonctionnement du chauffage tube radiant gaz et ses bénéfices réels
Le secret du succès du tube radiant gaz réside dans son principe physique : le rayonnement infrarouge. Ce mode de transmission thermique – comparable à l’action du soleil par temps froid – irrigue la chaleur sans recourir au chauffage massif d’un air difficilement canalisable dans de vastes espaces ouverts. Le cœur du système se compose d’un tube métallique, souvent en acier traité, traversé par une flamme générée à partir de gaz naturel, propane ou butane. L’intérieur du tube monte rapidement en température, irradie une énergie qui est réfléchie par une plaque spécifique, orientant la chaleur vers le bas ou vers les zones ciblées.
Contrairement à l’aérothermie qui vise à augmenter la température de l’air, la chaleur transmise n’est pas dispersée mais captée par les murs, les corps, les équipements, procurant une sensation immédiate et durable. Cela explique pourquoi les travailleurs d’une ligne d’assemblage ou d’un entrepôt logistique bénéficient d’un confort supérieur, même dans des bâtiments ouverts au vent, car la dissipation énergétique est nulle durant la phase de rayonnement. Cette technologie, démocratisée par RadiantPro ou Energia, assure alors une nette économie de combustible, tout en facilitant la montée en température dès la mise en route du système.
L’expérience de Sonia, gestionnaire d’une PME utilisant des tubes radiants Gazoleo, s’avère parlante : durant l’hiver rigoureux 2024, l’absence d’isolation a été totalement compensée par l’efficacité du chauffage par rayonnement, sans froid résiduel, même dans les espaces à forte hauteur sous plafond. C’est une rupture vis-à-vis des idées reçues sur l’indispensabilité de l’isolation thermique.
Bénéfices énergétiques et écologiques concrets
La priorité donnée à l’efficacité énergétique n’est pas une vue de l’esprit : en limitant de l’ordre de 30 à 50% les déperditions par rapport à un chauffage par air pulsé, le tube radiant gaz permet une réelle maîtrise de la facture énergétique. Par ailleurs, les nouveaux modèles, à l’image du CALCOAT ou de la gamme Thermoflux, affichent un rejet drastiquement réduit de CO et NOx, signe tangible de la compatibilité avec des normes environnementales exigeantes. Les réglementations européennes en vigueur depuis fin 2024 incitent d’ailleurs à privilégier ce type d’appareils dans le secteur industriel, alors même que l’on constate une prise de conscience accrue de la part des exploitants.
Sur le plan de l’expérience utilisateur, il faut insister sur la qualité du confort : adieu les ponts thermiques, l’effet de paroi froide, ou encore le désagrément de la stratification de l’air chaud, particulièrement problématique dans les hangars non isolés. Le gain se mesure en termes de productivité, de préservation du matériel, mais aussi de réduction des troubles musculosquelettiques, le rayonnement ne provoquant pas de dessèchement de l’air ni de circulation de poussières, contrairement aux solutions électriques classiques.
Comment bien sélectionner un tube radiant gaz pour une zone non isolée ?
Le choix d’un tube radiant gaz adapté n’est jamais anodin, surtout dans un espace non isolé où le confort ne dépend plus de l’enveloppe thermique mais du dimensionnement et du type d’installation. Plusieurs critères s’imposent alors, à commencer par la surface à chauffer et la hauteur sous plafond. Une étude de cas menée par EcoChauffage en début 2025 sur un atelier métallurgique montre qu’en ajustant la longueur et la puissance des tubes – de 21 à 45 kW pour des hauteurs de 5 à 8 mètres – il est possible d’obtenir une homogénéité thermique remarquable, couvrant l’ensemble des zones de travail ergonomiquement définies.
La différence est totalement décisive entre tube suspendu et tube mobile. Les premiers trouvent leur place dans des zones où le matériel ne doit pas être déplacé (entrepôts logistiques, plateaux industriels), les seconds offrent une agilité indispensable sur chantier ou lors de besoins ponctuels en chauffage. Le positionnement du brûleur constitue également un enjeu : il doit impérativement être situé à l’intérieur, à l’abri des intempéries, permettant un rendement maximal et une sécurité accrue. Les dispositifs raccordés en cheminée, respectant les normes CE, garantissent une évacuation efficace des gaz brûlés, réduisant tout risque d’accidents ou d’excès d’émissions nocives.
L’installation en hauteur libère l’espace au sol, évitant tout encombrement, tout en maximisant la portance du rayonnement. Pour de vastes surfaces, la solution consiste à agencer plusieurs tubes en parallèle, parfois à intervalles réguliers, afin d’éviter zones froides et disparités thermiques. Les équipements actuels, comme le RadiantPro C45 ou le Climazur M21, permettent un réglage précis, via thermostat d’ambiance ou capteurs de présence, adaptant la puissance selon l’occupation et l’activité réelle.
L’indispensable étude préalable
Parmi les écueils courants, on retrouve trop souvent une évaluation imprécise du volume d’air, une sous-estimation des effets de courants d’air latéraux, ou encore le négligement des zones d’ombre thermique. S’adjoindre les conseils d’un spécialiste tel que Gazdirect ou Climazur est alors recommandé pour garantir un dimensionnement ad hoc, prendre en compte les contraintes d’implantation (présence de mezzanines, obstacles, exutoires de fumée) et choisir correctement le combustible disponible – gaz naturel étant privilégié dans de nombreux cas pour sa stabilité tarifaire et son bilan écologique.
Enfin, avant tout investissement, il est judicieux d’analyser les outils de pilotage intelligent et la compatibilité du tube radiant avec les dispositifs de gestion à distance, une nécessité pour les multi-sites ou les installations à occupation intermittente.
Comparaison et typologie : tubes suspendus vs mobiles dans le chauffage gaz radiant
Dans le spectre des solutions de chauffage gaz radiant, l’opposition entre tubes suspendus et mobiles mérite d’être explorée avec nuance. Les tubes suspendus s’imposent dans les configurations pérennes : ils sont fixés à plusieurs mètres de hauteur, hors d’atteinte des flux de circulation, offrant une couverture maximale sans intervenir sur l’ergonomie du site. C’est la solution retenue par Energia pour la modernisation d’un centre logistique à Lille, permettant une exploitation continue de l’espace, tout en limitant significativement la déperdition énergétique. L’esthétique peut également peser dans la balance, notamment lorsque l’on souhaite préserver la visibilité ou l’accessibilité : intégration en faux plafond, couleurs adaptatives, formats compacts.
À l’inverse, sur les chantiers, dans les ateliers modulaires ou pour la couverture temporaire d’épisodes de froid, le tube radiant mobile s’impose. Pouvant être positionné précisément là où le besoin émerge ponctuellement, il offre une adaptabilité inégalée, libérant l’exploitant des contraintes de fixation lourde. Des enseignes comme RadiantPro ou EcoChauffage incluent dans leur catalogue 2025 des modèles étanches, résistants aux chocs et équipés de régulateurs de sécurité anti-basculement, assurant une robustesse maximale même dans des environnements difficiles.
Le débat se focalise alors sur l’intérêt d’investir dans la mobilité sur le long terme : si la flexibilité est appréciable, il faut reconnaître que les appareils suspendus, bien qu’exigeant une installation initiale, offrent sur la durée une rentabilité et un niveau de sécurité difficilement égalables dans les sites à haute fréquentation ou forte valeur ajoutée matérielle.
Un choix dicté par l’usage et la fréquence
Ce choix doit impérativement être dicté par l’analyse du cycle d’utilisation. Un entrepreneur du secteur événementiel pourra privilégier un parc de chauffages mobiles, tandis qu’un gestionnaire de bases logistiques investira de façon pérenne dans des tubes suspendus. Cette approche pragmatique, que l’on retrouve dans les recommandations de Climazur ou Thermoflux, garantit non seulement la pertinence de l’investissement, mais aussi la sécurité des équipes et la conformité aux règles locales de prévention des risques professionnels.
La réflexion ne doit donc jamais se limiter à la question du prix d’achat, mais intégrer l’ensemble du cycle de vie, y compris maintenance, formation et évolutivité du parc de chauffage. Le choix du gaz radiant s’érige en critère de professionnalisme et de vision durable du confort thermique.
Installation optimale du tube radiant gaz en bâtiments non isolés : impératifs et solutions
L’installation d’un tube radiant gaz dans un bâtiment non isolé requiert une approche méthodique, guidée par l’expérience terrain et le respect scrupuleux des normes en vigueur. L’un des points névralgiques concerne le positionnement du brûleur : il importe que celui-ci soit implanté à l’intérieur de la structure, protégé des aléas climatiques, ce qui conditionne la stabilité de la flamme et l’intégrité de l’appareillage sur la durée.
L’utilisation de matériaux de fixation adaptés aux contraintes (humidité, vibrations, charges dynamiques) est essentielle, tout comme la constitution d’un réseau de gaz sécurisé, équipé de vannes coupe-rapide, de détecteurs de fuite, et de raccords normalisés. Les opérateurs expérimentés de chez Gazdirect relatent trop fréquemment des situations où l’économie sur l’installation se paie par des pannes récurrentes, voire des accidents évitables. D’où la nécessité de confier l’opération à des professionnels certifiés, qui auront préalablement vérifié la compatibilité du site, la distribution du rayonnement, l’absence de risques liés à la coactivité.
L’évacuation des produits de combustion doit être conçue en adéquation avec les exutoires existants, en veillant à ne pas créer de points chauds susceptibles de détériorer la toiture ou les structures légères en présence. Il convient aussi de prévoir un accès facilité pour le contrôle et la maintenance – critère souvent négligé lors de la conception mais pourtant déterminant pour la pérennité du dispositif.
Dans un entrepôt du Grand Est, le choix de tubes radiants AirChaud a nécessité la création d’un réseau secondaire d’évacuation des gaz, séparé de la VMC, pour éviter toute pollution croisée. L’installation en série, avec redondance sur les commandes, illustre le souci de continuité de service, particulièrement dans les sites livrant en flux tendus, où la moindre panne aurait un impact direct sur la productivité.
Optimisation ergonomique et confort utilisateur
L’autre facette de l’installation porte sur l’ergonomie : placer le tube radiant à une hauteur suffisante garantit que le rayonnement soit réparti sur la totalité de la surface à couvrir. Négliger cette dimension aboutit immanquablement à des zones froides ou, au contraire, à des îlots de surchauffe, nuisibles tant pour le confort que pour les équipements sensibles. Les recommandations des fabricants – RadiantPro, Energia ou Thermoflux – insistent sur le respect d’une distance minimale par rapport aux matériaux combustibles et à la zone de passage des personnels, condition sine qua non d’une sécurité optimale.
L’ère du pilotage automatisé, avec paramétrage à distance et gestion dynamique selon la présence, marque également une rupture : n’est-il pas préférable d’investir dans un dispositif adaptable, qui module la puissance en fonction de l’occupation, plutôt que de surdimensionner systématiquement ? Ce réalisme technologique constitue un atout supplémentaire dans la gestion thermique des espaces non isolés.
Performance énergétique et réduction des émissions : quels enjeux pour 2025 ?
À l’aube de 2025, la question de la performance énergétique s’impose à toutes les entreprises, petites ou grandes, soucieuses de leur empreinte écologique et de leur compétitivité. Les tubes radiants gaz de nouvelle génération répondent désormais à ces deux exigences : offrir une montée en température rapide et durable, tout en réduisant significativement les émissions polluantes. Cette double ambition s’incarne parfaitement dans les gammes CALCOAT et EcoChauffage, dont les réductions de CO et NOx sont désormais certifiées par des laboratoires indépendants.
L’analyse comparative réalisée par AirChaud dans un atelier de transformation alimentaire, non isolé, a montré une diminution de 40% de la consommation de gaz sur la saison froide, à équivalent de niveau de confort, par rapport à des aérothermes électriques. Ce gain est d’autant plus significatif que la qualité de l’air se trouve également préservée, du fait d’un moindre brassage de particules et d’une absence de combustion incomplète à l’intérieur de l’espace de travail.
L’installation de modules de gestion intelligente – passes horaires, couplage à des détecteurs de présence ou de températures – accentue cette dynamique d’économie. Imaginez un site industriel multi-portes, exposé aux courants d’air : le recours à un tube radiant gaz piloté par zone autorise une segmentation fine des plages de chauffe, allouant précisément l’énergie là où elle est requise, et nul part ailleurs.
Économie sur la durée, retour sur investissement
L’investissement initial – parfois supérieur à des solutions moins technologiques – se trouve compensé par la baisse de la facture énergétique et des coûts d’entretien. L’usure limitée des pièces, grâce à une montée en température homogène, diminue sensiblement la rotation du matériel et met en valeur le principe de durabilité. Les témoignages d’exploitants ayant opté pour les modèles RadiantPro ou Gazoleo font état d’une réduction du TCO (total cost of ownership) de près de 30% sur cinq ans, prenant en compte à la fois l’énergie consommée et la maintenance.
La logique est claire : dans le contexte des contraintes budgétaires et règlementaires de 2025, ignorer la performance énergétique revient à accepter une contre-productivité qui, à long terme, met en péril non seulement la rentabilité mais aussi la responsabilité sociétale de l’entreprise. C’est dans cette optique que les leaders du chauffage gaz repositionnent leur offre et investissent massivement dans la R&D orientée bas carbone.
Chauffage par tube radiant gaz : applications spécifiques en zone non isolée
La polyvalence du chauffage gaz radiant se confirme dans des contextes de plus en plus variés : entrepôts frigorifiques, ateliers de mécanique lourde, plateformes logistiques exposées aux mouvements constants de portes, salles polyvalentes ou encore grands restaurants dotés de vastes terrasses ouvertes. Le point commun : l’absence ou l’inefficacité d’une isolation classique rend toute autre solution de chauffage inopérante ou excessivement coûteuse.
Prenons le cas d’une société de distribution de matériaux de construction opérant en région parisienne. Faute d’isolation satisfaisante, et confrontés à la nécessité d’accueillir chaque matin une centaine de collaborateurs dans d’immenses volumes ouverts, le recours à un mix de tubes radiants Climazur et Thermoflux a permis de segmenter le chauffage par zones fonctionnelles : quai de déchargement, zone de préparation, espaces de pause. Le système s’ajuste à la présence effective de l’équipe, conjuguant économie de gaz et ressenti thermique optimal.
Autre exemple marquant, celui d’un complexe sportif communal, où la fréquentation irrégulière des salles et la forte hauteur sous plafond rendaient les solutions classiques énergivores. L’adoption de tubes radiants AirChaud dans les gradins et sur les court de tennis a transformé l’expérience utilisateur : la montée en température immédiate lors des créneaux de réservation, le maintien d’une ambiance respirable sans excès d’humidité ou de poussière, la configuration sur-mesure selon l’agenda du complexe : tout converge vers une gestion rationnelle et pragmatique de la chaleur.
Des solutions pour chaque configuration
Le succès du chauffage gaz radiant repose ainsi sur sa capacité à répondre finement à la réalité terrain – qu’il s’agisse d’assurer la continuité d’activité en plein hiver, de garder des matériaux hors gel ou d’assurer aux clients de cafés et restaurants une terrasse confortable toute l’année. L’exemple du tube en verre pour parasol chauffant, très prisé pour l’extérieur, en atteste : il ne nécessite aucune isolation, mais délivre immédiatement la chaleur nécessaire à un groupe d’usagers, offrant une convivialité inégalée, même par temps venteux ou humide.
Si la contrainte d’un environnement non isolé peut sembler rédhibitoire pour de nombreux systèmes, le tube radiant gaz prouve qu’avec la bonne technologie et une implantation intelligente, il reste possible de transformer radicalement le confort thermique et la gestion énergétique des espaces difficiles, sans recourir à des rénovations structurelles lourdes ou à des solutions transitoires onéreuses.
Entretien, sécurité et réglementation : points clés à maîtriser
L’usage d’un tube radiant gaz dans une zone non isolée, bien que peu contraignant au quotidien, nécessite malgré tout un suivi strict en matière de maintenance préventive et de sécurité. Parmi les recommandations essentielles, le nettoyage périodique des brûleurs et des réflecteurs s’avère déterminant : poussières, graisses ou résidus divers peuvent entraver la propagation du rayonnement, nuire à la combustion et, à terme, accroître la consommation.
Il est également essentiel de faire vérifier annuellement l’étanchéité des raccordements de gaz : outre le risque d’explosion ou d’incendie, une fuite même minime peut biaiser les performances de l’appareil, générer une surconsommation et impacter la qualité de l’air intérieur. Les professionnels du secteur, tels que RadiantPro ou Gazoleo, insistent sur l’importance de contrôles réglementaires, assortis de dispositifs de coupure automatique et de détecteurs de CO. Depuis la récente mise à jour des normes européennes, la conformité des installations fait l’objet d’un contrôle accru, toute non-conformité pouvant exposer à des sanctions significatives.
La sécurité s’impose également sur le plan de l’usage : on évitera toute obstruction des dispositifs d’évacuation, toute modification improvisée du réseau de distribution, et l’on respectera scrupuleusement les distances préconisées entre l’appareil et les stocks de matériaux inflammables. C’est la garantie d’une exploitation sereine, sans sinistre ni accident industriel.
Durée de vie et investissement sécurisé
L’atout majeur des tubes radiants gaz modernes réside dans leur fiabilité mécanique : la durée de vie oscille souvent entre 10 et 15 ans, pour peu que le plan d’entretien soit suivi, que les pièces d’usure (joints, buses, thermocouples) soient remplacées selon les indications du fabricant. Sur ce point, les modèles Climazur ou Energia illustrent le souci de durabilité, offrant une garantie étendue et des services de maintenance à distance, atouts décisifs pour les exploitants de sites complexes ou multisites.
En maîtrisant ces paramètres, il devient alors possible de capitaliser sur l’investissement initial, d’optimiser la rentabilité du chauffage gaz radiant, tout en sécurisant l’environnement de travail, la qualité de production et la pérennité des infrastructures.
Coûts, rapport qualité/prix et perspectives économiques pour les entreprises et collectivités
L’investissement dans un chauffage par tube radiant gaz implique une analyse fine du retour sur investissement, du coût global et de la capacité du dispositif à générer des économies sur la durée, au-delà du simple prix d’achat. Les appareils d’entrée de gamme, proposés dès 900 euros pour des puissances modestes, séduisent par leur accessibilité mais révèlent vite leurs limites dans les environnements extrêmes, non isolés. À l’opposé, les modèles haut de gamme des gammes RadiantPro ou CALCOAT exigent un engagement financier plus important, justifié par la robustesse, la modularité, et la performance énergétique obtenue.
Un gestionnaire avisé s’en remettra à une analyse du coût total de possession (TCO), intégrant les frais d’installation, de maintenance, le prix du combustible et l’échéancier de remplacement. Les retours d’expérience collectés sur l’année 2024-2025 démontrent que là où une solution basique venait à échéance en 4-5 ans, les équipements premium maintiennent leur efficacité plus d’une décennie, ramenant le coût annuel à un niveau favorable et stabilisant la charge sur la durée.
L’autre point de vigilance est le prix du gaz sur les marchés : sa relative stabilité face à l’électricité ou au fioul en fait un allié précieux pour ceux qui anticipent sur trois, cinq ou dix ans. À surface équivalente, le chauffage radiant gaz consomme moins, chauffe plus vite, et nécessite moins d’entretien qu’un parc d’aérothermes électriques, résultat largement prouvé dans le secteur industriel du Nord et de la Région PACA.
Subventions, fiscalité et incitations vertes
Il ne faut pas négliger les dispositifs d’aide à l’investissement consentis par les agences de la transition énergétique ou les collectivités locales, qui intègrent désormais le chauffage gaz radiant dans leur liste de solutions éligibles, pour peu que celles-ci répondent aux normes de performance et de basse émission. Ce coup de pouce financier évite parfois de retarder un projet rentable, facilite la conversion de sites vieillissants et accélère la conformité à la législation thermique en vigueur.
En synthèse, le choix du tube radiant gaz se révèle économiquement rationnel dans une perspective d’optimisation des charges d’exploitation, de maîtrise de la dépense énergétique et de valorisation du capital immobilier, tout en conférant un avantage compétitif indéniable aux entreprises qui osent anticiper les mutations du marché du chauffage professionnel.
Innovations et avenir du chauffage radiant gaz : entre digitalisation et sobriété énergétique
Depuis ces dernières années, les innovations dans l’univers du chauffage gaz radiant rebattent profondément les cartes, en particulier pour les environnements non isolés. La digitalisation s’impose : la gestion à distance par smartphone, la connexion aux BMS (Building Management Systems), l’intégration de capteurs de présence et de météo deviennent la norme. Les gestionnaires de sites tels que Vincent, responsable dans un centre logistique connecté d’Ile-de-France, pilotent ainsi huit zones chauffées par tubes Thermoflux depuis leur tablette, ajustant au dixième de degré la diffusion selon l’occupation et l’horaire de livraison.
L’intelligence artificielle, couplée au Big Data, anticipe même la météo ou l’ouverture des portes, adaptant en temps réel la puissance d’émission de chaque tube. Cette granularité dans la gestion de la chaleur apporte deux avantages : elle réduit drastiquement les gaspillages énergétiques et participe directement à la démarche de sobriété imposée par les nouveaux standards ESG (Environmental, Social, and Governance) dans l’industrie.
Les perspectives pour les cinq prochaines années incluent le développement accru de tubes multi-zones, capables de varier leur rayonnement selon la densité de personnes ou la nature des marchandises présentes, mais aussi un recours généralisé à des matériaux toujours plus résistants et recyclables, réduisant l’empreinte carbone tout au long du cycle de vie. Les partenariats entre fabricants – RadiantPro, Energia, Climazur – et les producteurs d’énergies renouvelables ouvrent la voie à des hybridations intelligentes, alliant gaz vert et pilotage ultra-fin.
L’avenir du confort thermique en espaces non isolés
En définitive, le tube radiant gaz s’érige comme la pierre angulaire d’une politique énergétique moderne et raisonnable, au service du confort immédiat, de l’efficacité collective et du respect des enjeux environnementaux actuels. La capacité à intégrer les apports technologiques, tout en valorisant des usages parfois centenaires, façonne le futur des espaces non isolés, transformant une contrainte architecturale en terrain d’innovation et de performance.